Boire beaucoup, tel est le message. Et pas seulement en cas de températures exceptionnellement élevées, car si vous suivez une chimiothérapie ou prenez d’autres médicaments, boire est indispensable pour éliminer les déchets et éviter la déshydratation. C’est pourquoi, dans cet article de blog : 3 conseils et astuces simples pour être sûr(e) d’absorber assez de liquides.

Conseil 1 : buvez suffisamment d’eau (et essayez une gourde)

La recommandation depuis des années est de boire 2 litres d’eau par jour. Le thé et le café, c’est aussi à base d’eau, non ? D’accord, mais ils contiennent aussi des substances diurétiques qui peuvent provoquer une déshydratation. Ce qui ne veut pas dire que vous devez renoncer à votre délicieuse tasse de thé ou à votre bon café. Assurez-vous simplement de boire aussi de l’eau à côté.

Saviez-vous que 2 litres correspondent à 8 à 10 verres ? Vous n’arrivez pas à les boire chaque jour ? Essayez alors de boire dans une petite bouteille ou une gourde réutilisable, par exemple d’un demi-litre. Vous verrez que vous boirez plus que dans de petits verres.

Conseil 2 : pas trop froid et pas trop de bulles

Saviez-vous que les boissons glacées et gazeuses étanchent tellement bien la soif que, finalement, vous n’avez peut-être pas bu assez dans la journée, simplement parce que vous n’aviez plus soif ? Optez donc pour de l’eau plate et n’abusez pas des glaçons.

Conseil 3 : ajoutez de savoureux petits extras

L’eau « toute simple » a mauvais goût à cause de cette saveur métallique dans la bouche après la chimio ? Ou vous n’avez jamais vraiment aimé l’eau ? Rendez alors votre boisson plus « intéressante » en y ajoutant quelque chose. Par exemple des fraises fraîches, des framboises, des feuilles de menthe, des rondelles de citron ou d’orange, du concombre… Le choix ne manque pas ! Et la variété donne envie de boire davantage.

Vous avez, en raison de votre traitement, des problèmes pour manger et/ou boire ? Des questions spécifiques ?

Parlez-en alors avec votre médecin, votre onco-coach ou votre infirmier(ère). La plupart des hôpitaux disposent également d’une équipe de diététiciens qui peuvent vous conseiller et vous accompagner sur le plan nutritionnel.

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